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L'art de manager son chef en 5 leçons

Votre chef vous gâche votre travail au quotidien ? Tout n’est pas perdu puisque vous n’êtes pas obligé de subir. Reprenez le pouvoir avec 5 conseils simples pour apprendre l’art de manager son boss.

1- Prendre sa part de responsabilité

À qui la faute si un salarié n’aime pas la façon dont il est managé ? Sur ce point, le collaborateur est responsable à 50 % de la teneur de la relation avec son supérieur. Par habitude, par paresse ou par crainte, on laisse souvent le N+1 tout régenter. C’est un peu trop facile de se plaindre après. Or, il n’est pas interdit de prendre quelques initiatives pour améliorer sa façon de fonctionner. Le supérieur ne doit pas déterminer seul le fonctionnement de relation.

2- Lui dire ce que l’on veut

Beaucoup de N+1 savent mal manager. Cependant, il ne s’agit pas de leur asséner cette vérité crue, mais plutôt de l’aider en lui disant ce qu’on attend de lui. Délicat ? Il suffit juste d’y mettre quelques formes. La façon dont on échange est parfois plus importante que le contenu et c'est souvent là-dessus que les choses peuvent déraper, poursuit cette spécialiste de la communication non-violente. Pour l’éviter, on adopte la méthode OSBD (observation, sentiment, besoin, demande). C’est-à-dire qu’on formule une observation précise avec les sentiments qu’elle suscite, et on exprime ensuite un besoin et une demande concrète de ce que l’on souhaite. Parfois, le manager n’est peut-être pas si mauvais mais il a juste une façon différente de fonctionner. Mais rien n’empêche de lui dire qu’on n’a pas l'habitude de travailler ainsi et de proposer autre chose à tenter pendant une période définie par exemple, pour qu’il puisse se faire une idée.

3- Savoir lui dire non

Cependant tous les managers n’ont pas la même capacité d’écoute. Même quand on est managé, il faut savoir poser un cadre de façon très précise. Le salarié l’ignore, mais il n’est pas obligé de tout accepter. Il faut faire la différence entre ce qui fait partie de la mission d’un collaborateur et tout ce qui est excessif ou hors cadre et que l’on peut refuser. L’intéressé doit se demander ce qui n'est pas négociable pour lui et quelles limites il souhaite définir. Sans faire preuve d'une absence totale de flexibilité, il peut aussi faire une "contre-offre". On peut refuser de façon constructive et préciser que, pour fournir un travail correct, on aurait besoin de tel moyen ou de tel renfort.

4- Apprendre à le connaître

Mais le salarié peut aussi augmenter ses chances de réussite en faisant montre d’un peu d’empathie et de curiosité. Les managers intermédiaires sont aussi soumis à des pressions que leurs subordonnés n’imaginent pas toujours. Il n’est pas interdit d’interroger son N+1 sur les objectifs de l’entreprise et ses attentes à lui. Cette curiosité - rare – peut aider à apaiser la relation et à jouer sur les bons leviers. Sans le manipuler, vous pouvez au moins vous adapter à son langage. Face à un manager passif, on peut le guider pour lui faire prendre des décisions plus rapidement, ou calmer un manager agressif en restant factuel et en oscillant entre étonnement et flatterie quand il se met en colère. S’il n’est pas de mauvaise volonté, le manager sera ensuite plus ouvert aux suggestions que vous pourrez lui soumettre.

5- Savoir dire merci

D’aucuns vous accuseront de fayoter. Mais c’est beaucoup plus subtil que cela en réalité. Nous avons tous besoin de savoir que notre travail est utile, qu’il est bien fait. Les chefs, comme les autres, sont naturellement demandeurs d’une confirmation, d’une reconnaissance. Dès lors que le manager fait un effort dans votre sens, pourquoi ne pas lui dire merci ? Le manque de reconnaissance n’est pas réservé aux subordonnés… Et dire merci permet de renforcer bien des relations. Autrement dit, c’est une autre façon d’indiquer à son manager la marche à suivre. En le manageant avec douceur.

Comment se rendre plus visible en entreprise

Pour mener une belle carrière au sein d’une entreprise, il faut non seulement obtenir de bons résultats mais aussi savoir se faire remarquer de sa hiérarchie. Une condition sine qua non pour obtenir reconnaissance et promotions.

La visibilité au sein d’une entreprise se joue sur autre chose que le simple fait d’être dans les petits papiers du boss. C’est à la société qui vous emploie que vous devez vous montrer utile, pas à son chef du moment. On comprend pourquoi la stratégie de l’arriviste ne peut durer qu’un temps.

Jouer collectif pour faire gagner l’entreprise

Se faire remarquer en entreprise ne signifie pas se démarquer mais contribuer à ce qu’elle atteigne ses objectifs. S’ils veulent gagner, les joueurs d’une équipe sportive doivent jouer collectif et se faire des passes en n’hésitant pas à faire briller leurs coéquipiers, qui rendront la pareille en temps voulu. Chacun doit trouver sa place et rendre des services désintéressés, c’est du donnant-donnant qui contribue à la bonne harmonie de l’entreprise. Il n’est, par exemple, pas interdit de donner quelques tuyaux et contacts aux collaborateurs commerciaux sans rien attendre en retour, ou donner un peu de son temps si on peut en accorder à un collègue qui a pris du retard dans une mission qu’on lui a confiée… Ainsi, vos collègues de travail deviennent des ambassadeurs de votre travail qui pourront relayer aux supérieurs combien vous êtes serviable et faites du bon boulot.

L’assertivité, une bonne attitude du quotidien

Un employé sociable, c’est un employé qui se fait remarquer dans le bon sens du terme et qui adopte la bonne attitude pour progresser au sein de l’entreprise. Chacun fait avec son caractère, mais il est important, si on a l’ambition de s’élever professionnellement, de travailler le réseautage interne. Il faut savoir aller vers les autres, profiter des moments comme le déjeuner ou la pause-café pour discuter autrement, se tenir informé de l’actualité de l’entreprise et des opportunités qui peuvent se présenter… C’est ce que l’on appelle une communication proactive et positive. Se rendre visible en entreprise, c’est tout simplement être présent physiquement, montrer à ses collègues et supérieurs hiérarchiques qu’on est quelqu’un sur qui on peut compter.

Une personne visible en entreprise est une personne désirable et donc accaparée par son travail : qui ne reste pas la journée assis à son bureau, qui privilégie des projets transverses, qui montre qu’elle est occupée et donc rare et précieuse… Le monde de l’entreprise est un théâtre où, si vous voulez jouer les premiers rôles, il faut se montrer devant la caméra, quitte parfois à surjouer un peu.

Période d'essai ratée ? Comment rebondir

Une période d’essai qui s’arrête, c’est la tuile… D’autant plus si vous avez quitté un poste pour accepter le job. Que ce soit à votre initiative ou celle de l’employeur, il est humain de se sentir perdu. Nos experts vous suggèrent quelques réflexes à adopter pour mieux rebondir.

1- Comprendre ce qu’il s’est passé

Le sujet mérite d’abord quelques explications. Il ne faut surtout pas sous-estimer le choc d’une rupture de période d’essai. Il faut d'abord faire le deuil et analyser ce qu’il s'est passé. Quoi qu’il en soit, il faut absolument avoir une explication de la part de l'employeur. Elle est parfois indépendante des performances du salarié s’il s’agit d’un changement soudain de politique ou d’organisation. Parfois elle tient à des incompatibilités d’humeur. Et si le salarié n’a pas rempli sa mission, il intérêt à comprendre pourquoi.

2- Accepter l’échec… et l’erreur

Le problème, c’est que l'échec est encore tabou. On est formaté pour penser qu'un échec est une faute. Or, c’est souvent davantage une erreur et surtout une indication sur comment mieux faire la prochaine fois. Certains sont dans le déni, alors que d'autres prennent tout sur eux. Il faut déterminer ce qui relève de son action… ou pas. Il faut se rappeler que c’est aussi un échec pour l’entreprise qui a parfois beaucoup investi dans son recrutement. Beaucoup d’entreprises ont encore du mal intégrer leurs nouveaux collaborateurs. Il est donc rare que les torts ne soient pas un peu partagés.

3- Savoir en parler dans ses futurs entretiens d’embauche

Pas facile à expliquer, cependant. Alors comment justifier, pendant ses futurs entretiens de recrutement, que sa dernière collaboration se soit arrêtée prématurément ? L’essentiel est de pouvoir en parler calmement et sans affect. Avec les mots qu’il faut, on peut tout dire. On peut dire que l’on a fait les frais d’une restructuration, que l’on ne s’est pas entendu avec quelqu’un ou que l’on a manqué de discernement en acceptant le poste. Un recruteur voudra juste s’assurer que vous en parlez sans aigreur et éventuellement que vous en avez retiré quelque chose. Si on a une discussion constructive avec son ancien employeur et bien analysé l’échec, rien n’interdit de lui demander une recommandation. S’il est contacté par un futur recruteur, il pourra alors confirmer, sans mentir, les raisons de cet échec. Voire louer quelques-unes de vos qualités.

4- En retirer quelque chose de positif

On peut même sortir grandi de ce genre de mésaventure. On peut aussi voir cet échec comme un feed-back, une base de réflexion et d’apprentissage sur soi-même et le monde de l’entreprise. L’important, c’est d’en tirer quelques leçons pour l’avenir. Certaines, valorisantes, pourront être formulées pendant de futurs entretiens de recrutement et démontrer votre capacité à tourner la page. D’autres, plus personnelles, ne seront pas moins utiles pour la suite de votre carrière…

 

 

 

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